5 juillet 2005
La levée du corps fût pénible. Tous sont très fatigués et personne n'a le goût de partir. Adèle est couverte de piqûres de brûlots et moi aussi. On avait mis des draps dans les fenêtres pour cacher le soleil, hier en fin de journée et on les a laissés là, en soirée. Cette nuit, moi et Adèle étions réveillées et jasions sur le divan. Afin de nous réchauffer, nous avons enlevé les draps des fenêtres pour nous en recouvrir. Nous ne le savions pas mais, ces derniers étaient pleins de ces montrueux insectes, réfugiés dans les fenêtres. Quand on voit toutes ces marques bien rondes, rouges et blanches et qui ne font pas mal du tout, on trouve ça bien drôle. Ce le sera beaucoup moins dans quelques heures... Les mouches noires, il n'y a rien là mais les brûlots, quelle horreur!!! Dans la voiture, sur le chemin du retour, je sens la chaleur à travers mes jeans! À l'arrivée, je jette mon pantalon par terre, j'ai les jambes en feu! Au figuré, bien sûr:) J'en aurai pour 48 heures à ne pas m'endurer. Je n'ai jamais connu une telle sensation. Ça brûle comme du feu. Il faut dire que je suis couverte, des pieds jusqu'au cou... Je me couvre de compresses d'eau froide et Chlor-tripolon pour le dodo... On a au moins appris quelque chose : il ne faut pas allumer de lampe à l'huile, le soir, à l'intérieur, fin juin- début juillet. Les brûlots sont si petits qu'ils passent à travers les moustiquaires! On apprend toujours... de la manière dure parfois:) La section commentaire est fermée.
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